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Choc des cultures à l’Olympique lyonnais, confronté au management « à l’américaine » de John Textor
Dernier rebondissement d’une saison agitée, la nomination de l’entraîneur Paulo Fonseca est un coup de poker tenté par le propriétaire américain de l’OL, John Textor. Dimanche à 20 h 45, le club lyonnais se déplace à Marseille.
A l’Olympique lyonnais (OL), la prise de contrôle, fin 2023, de l’homme d’affaires américain John Textor se traduit par une multiplication des zones de turbulence. L’OL en a traversé une nouvelle cette semaine, avec l’éviction son entraîneur, Pierre Sage, remplacé par un profil plus expérimenté, le Portugais Paulo Fonseca, juste avant de se déplacer, dimanche 2 février, à Marseille, actuellement 2e au classement de la Ligue 1.
Depuis un an et demi, la route du club rhodanien, sept fois champion de France dans les années 2000, s’apparente à des montagnes russes. Sur le plan financier, les sanctions de la Direction nationale du contrôle de gestion le frappent régulièrement. L’OL a interdiction de recruter actuellement et sa masse salariale est encadrée. Pis, en novembre 2024, le gendarme financier du football français lui a infligé une rétrogradation en Ligue 2 en fin de saison, à titre conservatoire. Depuis, Textor s’est démené, avec un certain succès, pour réaliser des économies et faire entrer de l’argent frais dans les caisses du club.
Sur le plan sportif, les Lyonnais (6es de Ligue 1 avant la 20e journée) alternent entre le plus mauvais – comme depuis six matchs, où ils n’ont plus gagné – et le meilleur, leur remontée, en deuxième partie de saison dernière, des bas-fonds du classement du championnat de France jusqu’à une place qualificative pour la Ligue Europa. En janvier, Lyon a encore alterné les bas et les hauts. Piteusement éliminé en Coupe de France par Bourgoin-Jallieu, un club de National 3, l’OL a aussi signé une belle performance européenne, jeudi, en décrochant une qualification directe pour les 8es de finale de la Ligue Europa.
Le Monde
Dernier rebondissement d’une saison agitée, la nomination de l’entraîneur Paulo Fonseca est un coup de poker tenté par le propriétaire américain de l’OL, John Textor. Dimanche à 20 h 45, le club lyonnais se déplace à Marseille.
A l’Olympique lyonnais (OL), la prise de contrôle, fin 2023, de l’homme d’affaires américain John Textor se traduit par une multiplication des zones de turbulence. L’OL en a traversé une nouvelle cette semaine, avec l’éviction son entraîneur, Pierre Sage, remplacé par un profil plus expérimenté, le Portugais Paulo Fonseca, juste avant de se déplacer, dimanche 2 février, à Marseille, actuellement 2e au classement de la Ligue 1.
Depuis un an et demi, la route du club rhodanien, sept fois champion de France dans les années 2000, s’apparente à des montagnes russes. Sur le plan financier, les sanctions de la Direction nationale du contrôle de gestion le frappent régulièrement. L’OL a interdiction de recruter actuellement et sa masse salariale est encadrée. Pis, en novembre 2024, le gendarme financier du football français lui a infligé une rétrogradation en Ligue 2 en fin de saison, à titre conservatoire. Depuis, Textor s’est démené, avec un certain succès, pour réaliser des économies et faire entrer de l’argent frais dans les caisses du club.
Sur le plan sportif, les Lyonnais (6es de Ligue 1 avant la 20e journée) alternent entre le plus mauvais – comme depuis six matchs, où ils n’ont plus gagné – et le meilleur, leur remontée, en deuxième partie de saison dernière, des bas-fonds du classement du championnat de France jusqu’à une place qualificative pour la Ligue Europa. En janvier, Lyon a encore alterné les bas et les hauts. Piteusement éliminé en Coupe de France par Bourgoin-Jallieu, un club de National 3, l’OL a aussi signé une belle performance européenne, jeudi, en décrochant une qualification directe pour les 8es de finale de la Ligue Europa.
Le Monde